1. Introduction : Votre cerveau mérite un coup de pouce
On vous a menti sur votre cerveau !
Pendant des décennies, on apprenait aux étudiants de biologie et de médecine que le nombre de cellules nerveuses dans notre cerveau est un capital définit à la naissance qui ne fait que diminuer avec l’âge. On sait aujourd’hui que c’est faux grâce aux travaux d’Elizabeth Gould, une neuroscientifique américaine qui fut, à la fin des années 90, la première à découvrir le processus de neurogenèse.
La neurogenèse qu’est-ce que c’est ?
On entend par neurogenèse la neurogenèse chez l’adulte, qui est un processus différent de celui de la neurogenèse prénatale (avant la naissance). Le terme de neurogenèse s’articule autour de neuro, entendez ici “neurones”, et genèse, soit “le commencement, la création”. La neurogenèse, c'est donc l’action de notre corps qui lui permet de créer de nouveaux neurones et ainsi de garder notre cerveau jeune et actif. On sait aujourd’hui que ce processus relève d’une importance capitale pour garder une mémoire claire, une bonne concentration et prévenir l’apparition des maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson ou Alzheimer, et toutes sortes de démences.
Comment stimuler la neurogenèse ?
Il existe des actions simples à mettre en place pour stimuler le processus de neurogenèse dans notre cerveau. En effet, comme le corps humain n’est pas un objet immuable, mais plutôt un processus en constante évolution, il est possible de favoriser son adaptation à de nouvelles conditions, et ce, peu importe votre âge. Cette adaptation à un stress extérieur modéré permet à votre cerveau de se reconfigurer, ce qui soutient la création de nouveaux neurones : notre fameuse neurogenèse.
La littérature scientifique s’accorde par exemple pour dire que parler régulièrement une deuxième langue ou en apprendre une prévient l’apparition de la maladie d’Alzheimer .
Une autre option complémentaire est celle de la pratique d’une activité physique. En fait, ce serait la méthode la plus efficace pour lutter contre le déclin cognitif et prévenir les maladies neurodégénératives .
2. Les nootropes, qui sont-ils ? Que font-ils ?
Vite, de l’engrais pour vos neurones !
Parmi les méthodes qui permettent de garder un cerveau jeune, il existe des aliments et des produits naturels qui améliorent son fonctionnement. Ces substances, que l’on appelle des nootropes (du grec noos “l’esprit,” et tropos “orienter”) sont d’une grande aide pour la mémoire, la concentration et préviennent l’apparition des maladies neurodégénératives.
Les nootropes : pourquoi séduisent-ils ?
Mémoire, concentration, créativité : les nootropes apportent tout ce dont on rêve pour profiter pleinement d’une vie bien remplie. Ils ont aujourd’hui le vent en poupe, mais vous allez voir que, même sans un nom accrocheur, beaucoup de ces produits vous sont déjà connus, vous les consommez pour certains déjà au quotidien !
3. La nature au service de votre cerveau : zoom sur les nootropes
Les stars des nootropes
Ginkgo biloba : il améliore la microcirculation sanguine et permet à votre cerveau d’être bien irrigué en oxygène et en nutriments. Avec lui, plus de fringales pour vos neurones, fini le brouillard mental pour vos travaux.
Caféine, théine et théobromine : la caféine et ses dérivés, du thé (théine) ou du cacao (théobromine), sont très étudiés sur la santé cognitive. Leur effet est sans équivoque : ils protègent nos neurones. Veillez toutefois consommer la caféine avec modération (1 à 2 tasses de café maximum). Pensez également à adjoindre à votre consommation de caféine des antioxydants. À ce titre, le maté ou le thé vert sont d’excellentes alternatives au café. Vous pouvez aussi vous tourner vers un café de torréfaction claire (light roast) qui contient plus d’antioxydants, car certains sont détruits par la chaleur pendant la torréfaction.
La créatine : bien qu’elle ait mauvaise presse parce qu'elle fut utilisée comme prétexte pour justifier la performance d’athlètes dopés, la créatine est une substance naturelle, non dopante, très présente dans la viande (surtout rouge). Son rôle est de stocker de l’énergie dans les tissus qui en consomment beaucoup. Or, devinez qui consomme le plus d’énergie dans votre corps ? Non, ce ne sont pas vos muscles, mais bien votre cerveau (il pèse 2 % de votre masse corporelle, mais consomme 20 % de l’énergie du corps) ! La créatine y est très abondante et permet à l’encéphale de mieux fonctionner.
La nicotine : À ce stade, vous pensez que je suis fou, ou juste très provocateur ! Pourtant, la nicotine n’est pas la cigarette. Si fumer ou vapoter est bien nocif pour notre organisme, la nicotine, elle, possède de vrais bénéfices pour notre cerveau. Il s’agit donc de ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain. La nicotine est d’ailleurs présente naturellement dans le poivron ou l’aubergine, qui sont de la même famille botanique que le tabac. Les bénéfices de la nicotine pour la santé se trouvent dans un dosage faible entre 1 et 5 mg, ce qui correspond à moins de la moitié de la quantité présente dans une cigarette. Attention tout de même, car la nicotine est addictive au-delà de 4-5 mg/jour.
L’Hericium : (lion’s mane) On en vient enfin aux champignons ! Globalement, la consommation de champignons est associée à une meilleure santé de notre cerveau, car ils protègent ce dernier contre les maladies neurodégénératives. La star en la matière est bien sûr l’Hércium, dont les composés héricenones et érinacines stimulent la neurogenèse, promouvant la sécrétion d’une hormone de croissance cérébrale (BDNF). Le champignon donne un effet sur la concentration, la mémorisation et aussi sur la prévention des maladies neurodégénératives.
L’ergothionéine : J’ajoute à cette liste l’ergothionéine pour laquelle les évidences s’accumulent vis-à-vis de ses bienfaits protecteurs de notre cerveau. Voir l’article dédié sur le blog.
Pourquoi les solutions naturelles gagnent du terrain :
Il vaut mieux prévenir que guérir, dit l’adage, et c’est particulièrement vrai avec les maladies neurodégénératives, car nos méthodes de dépistage détectent ces maladies lorsque leurs effets sont déjà handicapants au quotidien. De plus, les thérapies conventionnelles sont impuissantes pour inverser le cours de ces maladies invalidantes pour la personne atteinte, mais aussi pour ses proches.
4. Hericium erinaceus : Le meilleur nootrope ?
Zoom sur l’héricium, utilisé depuis des siècles en Asie.
Ce champignon présente une forme de crinière de lion, d’où provient son nom anglais de lion’s mane. Au Japon, il est appelé Yamabushi také en référence aux moines des montagnes, les Yamabushi qui portent des ornements en forme de pom-pom rappelant le champignon. Utilisé pour soigner les ulcères gastriques et améliorer la concentration des moines pendant la méditation, le champignon est étudié depuis les années 70 par les chercheurs japonais qui ont redécouvert ses fabuleuses propriétés.
Un champignon aux superpouvoirs.
L’Héricium est à l’avant-garde du renouveau des champignons médicinaux en Occident. Il stimule la santé de notre cerveau, tel que décrit plus haut, tout en prenant soin de notre microbiote. Il améliore l’humeur et pourrait même remplacer certains antidouleurs. C’est en somme une alternative légale au microdosage de champignons hallucinogènes très utilisés en Amérique (mais illégal en France) pour stimuler la créativité, rentrer en état de flow (concentration sans friction ni distraction). Pour ma part, je ressens les bénéfices de l’Héricium 30 min après sa prise sous forme d’une concentration accrue qui se traduit par un meilleur apprentissage et une fluidité dans le langage. Avec lui, je cherche moins mes mots.

5. Pourquoi adopter l’Hericium dès maintenant ?
Les défis cognitifs du quotidien
Multitâches, fatigue mentale, utilisation systématique des écrans et sédentarité. Nos modes de vie de plus en plus connectés sont un véritable défi pour notre organisme. Non pas qu’il ne possède pas les ressources pour y faire face, mais encore faut-il lui donner ce dont il a besoin pour résoudre ces défis.
Des études prometteuses : clarté mentale et bien-être prouvés par la science.
L’héricium est étudié pour lutter contre la dépression passagère, et serait tout aussi efficace dans la lutte contre les bactéries multirésistantes. Il favoriserait la santé du microbiote tout en prenant soin de notre système digestif en général.La stimulation de la neurogenèse par le champignon est étudiée pour l’amélioration de la mémoire et semble prévenir l’apparition de la démence. Certains de ses principes actifs seraient efficaces sur la gestion de la douleur par notre organisme, ce qui le rendrait antalgique (antidouleur) .
6. Comment en profiter (et pourquoi notre complément est idéal)
Un trésor naturel
Dans la nature, l’Héricium est rare, ce qui en fait une espèce à protéger. En revanche, il est tout à fait possible de le cultiver. On dit souvent que son goût est celui du homard, mais si sa texture rappelle le fruit de mer, le gout du champignon est largement surestimé (à mon avis). Il faut donc le cuisiner un petit peu, ce qui ne va généralement pas de pair avec nos modes de vies du quotidien.
La solution idéale
Pour mieux profiter des bénéfices du champignon, la solution idéale reste la prise d’un complément constitué à 100 % du carpophore de champignon comme celui de Provivant.
Le carpophore, c'est le fruit du champignon que le mycélium (partie végétative) produit une fois arrivé à maturité. Cela garantit un complément 100 % pur et riche en principes actifs.
7. Conclusion : Réveillez votre potentiel avec l’Hericium
Récapitulatif
Notre bien-être et la santé de notre cerveau dépendent de la formation de nouveaux neurones lors d’un processus appelé neurogenèse. Il existe des substances qui contribuent à la santé de notre cerveau, mais peu d’entre elles stimulent la neurogenèse. L'Hericium erinaceus est donc un allié de taille pour apporter à votre cerveau tout ce dont il a besoin pour rester au top.
Envie d’un esprit vif et d’une énergie retrouvée Découvrez l’Hericium premium de chez Provivant. Commandez maintenant et retrouvez votre tranquillité et votre clarté d’esprit, parce que la vie est plus agréable quand on s’en souvient !
Guillaume E. Lopez